Pour bien démarrer en spéléo

Les tutos de Xavier part 1 LES RECOMMANDATIONS GENERALES

RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES Une sortie se prépare à l’avance pour adapter au mieux la cavité au groupe (ou le groupe à la cavité) et ainsi lim...

vendredi 9 février 2024

SCIALET DE LA COMBE DE FER du 27/01 au 28/01


Rédacteurs : David, Jean-Baptiste et Nicolas 
Participant(e)s : Marion Talon, Romain, Adeline, Jean-Baptiste, Christophe, Clément, Nicolas,
David
Profondeur atteinte : environ -500 m
TPST : 16h

 « L’équipe au bivouac -300 »



Objectifs et marche d’approche :
Par un beau matin d’hiver nous voici tous les 8 embarqué(e)s dans la marche d’approche du scialet
de la Combe de Fer au dessus de Corrençon avec un double objectif. Pour
Nicolas et son équipe, prendre des photos d’une partie de la cavité qui n’a
jamais ( ou très peu ) été prise ( entre le bivouac à -300 et le début de l’actif
à -400 ) et pour l’équipe restante, déséquiper du fond jusqu’au bivouac en
laissant les cordes sous terre pour les explos futures et éventuellement de
visiter le fond.
Après 1h30 d’approche, nous voici tous les 8 prêt(e)s à visiter la cavité. Il est
environ 10h.


Accès aux grandes galeries -300 :
Ça descend bien, un bel enchaînement de puits dont un arrosé entrecoupés d’un méandre plus ou
moins large nous permet d’atteindre le pic-nic au bivouac sans véritable encombre si ce n’est
d’avoir perdu David qui s’est mis à descendre sur des cordes qu’il ne fallait pas emprunter pour
atteindre la suite. Après quelques changements, il est décidé au bivouac de créer les 2 groupes
suivants : Marion, Romain, Adeline, JB et David pour le fond et Nicolas, Christophe et Clément
pour le groupe photo.
Les deux groupes se suivent jusqu’à arriver au puits de la boue afin que tout le monde sachent où
aller. L’état des 2 cordes en fixe pour atteindre les grandes salles et acceptable, même si
l’installation de nouveaux points serait à envisager si l’on venait à circuler régulièrement dessus.



CR de l’équipe déséquipement : Marion, Romain, Adeline, David, JB
Nous atteignons rapidement l’actif en bas du puits de la boue
et là l’ambiance est magnifique ; nous descendons le long de superbes
cascades jusqu’à shunter le premier siphon à -420 dans un boyau d’environ
30 m sévèrement étroit et humide où JB a eu l’idée lumineuse de nous faire
se déséquiper le plus possible. Après, c’est une voûte mouillante avec de
l’eau jusqu’en haut des cuisses qui nous accueille, pour arriver sur un puits
bien arrosé. Clairement il y a plus d’eau cette fois-ci qu’il y a un an ce qui
va nous amenez à réfléchir un peu à la remontée pour certaines cascades
afin de ne pas prendre la douche.

En bas du puits du Corail, nous finissons par quitter l’actif dans une partie
sèche et atteindre après le dernier puits à déséquiper la salle du macaroni. Il est 14h, beaucoup ont
froid et nous estimons la remontée à environ 8h, soit une sortie à 1h du matin. Nous décidons à ce
stade de remonter sachant que le fond est à environ 1h aller avec encore de belles étroitures dixit
JB.
La remontée est longue et fatigante comme prévue
mais se passe sans encombre. Le P10 peu après le puits de la
boue P10 problématique car littéralement sous cascade est équipé
d’un guidé avec une vieille corde remontée du fond. Cette corde
restera en place pour de futur équipe. La répartissions des kits est
plutôt équitable et nous remontons tranquillement vers l’arrivée du
Réseau de Juin.


CR de l’équipe photo : Christophe, Clément, Nicolas
Bien bien bien , enfin nous allons pouvoir nous
occuper de documenter les zones inférieures de la
combe.Après quelques changements de protagonistes
dans l’équipe : nous voilà à 3… un poil moins que ce à
quoi j’aspirais , mais la bonne humeur de mes
comparses est sans pareil : Je n’y perds pas du tout !


Nous quittons rapidement le reste de l’équipe de vue, et prenons ainsi le temps d’apprécier les
lieux ; pour une fois que ça va être tranquille, je vais en profiter . L’idée était de pouvoir
photographier le plus bas possible, avec la conscience que l’eau serait potentiellement un frein à
l’humeur de l’équipe. Le 1er puit dans l’actif annoncera vite la couleur des réjouissances….
descente dans la flotte, équipement en place un peu old school, dèv’ pas du tout hors crue… ah ah
Bon, on va commencer / s’arrêter là ;-)
Christophe se colle en modèle, tandis que Clément faisant valoir sa carte “solubilité” s’occupera
du contre-jour.
Clic-clac kodack : l’affaire est dans le sac.


Tout en rangeant hâtivement le matériel, je
réfléchis à nos comparses plus bas…. ça doit
pester dans la flotte et les étroitures !
Nous prendrons le temps de remonter
tranquillement, et moi de faire de mon mieux pour
éclairer les lieux.
Seront respectivement pris en photos :
-Le puit de la boue ->


<- Le puit de la boue , vu du 2nd fractio’


-Une jolie section de galerie
faisant suite à ce dernier ->


-La zone de dimensions confortables en bas des grandes galeries de -300


Difficile de s’arrêter, mais l’heure avance et une décision collégiale est prise d’attaquer la
remontée car il est tard, et que les forces / moral s’amenuisent. L’équipe du fond nous rejoindra
finalement rapidement, Tous trempés et avec quelques mines déconfites de ci de là :-p
Rien ni personne ne sera à déplorer, si ce n’est que …mince, j’ai déjà envie d’y retourner !!!!!




Sortie du trou :
Les 2 groupes, photo et déséquipement se rejoignent à -300 par le hasard du timing. Nous arrivons
au vestiaire à -90 m vers 2h du matin et sur le parking des voitures vers 3h du matin. Une sortie
dense, intense et de toute beauté ! Merci à Nicolas et JB pour l’organisation
Bilan du matériel remonté à -300: (à établir à tête
reposée la prochaine fois)


Bilan du matériel de bivouac :
- 1 couverture de survie
- 5 conserve, 4 soupes déshydratées
- 2 matelas mousse
- 2 coupes et 2 plans de la cavité
- du fil pour mettre en place un point chaud
- 1 gamelles + réchaud à alcool


Matériel d’explo :
(Nouveau)
- une C60
- 10 raumer
- 10 pailles dans tube PVC
- 1 ligne de tir de 30m de long

TRAVERSEE FLEURS BLANCHES – MOUCH’TIQUES le 06/02/2024,

Participants : Adeline, Ondine, Tim, Adrien, JB

TPST : 8h


Départ :
Nous avions prévu de nous retrouver à 9h sur le parking du Mémorial de Vassieux avec Ondine
venu de la Chapelle. Finalement, nous nous croiserons, nous chercherons mais finirons bien par
nous retrouvez sur le parking de l’accès aux Mouch’tiques, un grand espace sur la gauche de la
route peu après le Mémorial. Ondine a déjà fait quatre fois la traversée et nous emmène à pieds voir
la sortie de Mouch’tiques. Comme prévu tout est en place et tout est équipé jusqu’en haut de
l’échelle.
Nous décidons de faire une navette, et nous partons tous ensemble nous garer plus haut pour nous
changer. Nous suivons une piste de ski de fond et cherchons rapidement l’entrée que Tim trouve.
Fleurs-Blanches :
Comme dans mon souvenir, l’entrée est à quatre pattes pendant quelques temps jusqu’à arriver sur
une grande salle en plan incliné descendant, la salle du 15 août. Là nous trouvons la première corde
et nous attaquons la descente. On arrive ensuite sur un puits méandriforme assez fractionné puis à
sa base, allez savoir pourquoi, nous remontons par un plan incliné mondmilcheux sur des cordes qui
nous emmène sur une tête de puits méandriforme étroite. En bas de ce puits, deux chemins se
présentent à nous. Nous décidons de penduler pour rejoindre un départ de galerie de l’autre côté du
puits. Nous avons du mal à comprendre où nous sommes sur la topo. Tim enchaîne sur la descente
du puits suivant et là, nouvelle surprise, les mousquetons de déviation sont lèprés et très dur à
ouvrir. Finalement, une fois en bas, Tim nous dit : « Demi-tour, c’est pas là ! ». Après plusieurs
réflexions entre nous, finalement Ondine remonte et reviens au départ de la main-courante
remontante mondmilcheuse que nous n’aurions jamais du suivre pour trouvez tout naturellement à
sa base, la suite du puits que nous aurions du suivre, proche de l’actif. Nous descendons donc le P25
en 3 jets, puis le P32 le rond, équipé à double, puis enfin le méandre de l’os. Nous percolons le
collecteur vers midi passé. On est pas en avance !

« Arrivée dans la galerie COSOC-SGCAF »



 

La traversée horizontale :
Nous déjeunons vers le « siphon vert » peu de temps après les incroyables carreaux de chocolat et
avant le passage du radeau sur tuyaux PVC absolument mythiques ! Tim nous régale de ces
fantastiques madeleines et nous ne nous refusons pas un petit café bien chaud ! Allez, il est temps
de se remettre en route ! Le radeau de la méduse nous mouillera un peu puis ensuite c’est la
récompense, les galeries toutes plus énormes les unes que les autres se succèdent.

« Les Carreaux de Chocolat » 


« Le radeau PVC »


 

La salle Brontozaure est dans doute le clou du spectacle. Nous arrivons devant le passage du canard
et crocodile et là nous passons à coté du passage bas débouchant sur l’escalade des cannelures ce
qui nous vaudra une deuxième session en mode « perdition » à consulter la topo, à revenir sur nos
pas... Finalement c’est encore Ondine qui finit par nous retrouver le chemin.

En haut de l’escalade des cannelures, la calcite couleur soufre est juste incroyable ! Nous
continuons jusqu’à arriver sur la partie du « shunt par la désob » où nous nous posons une nouvelle
fois quelques questions devant le ramping mais finalement oui c’est bien là. Nous sommes ensuite
dans les spéléonautes 2 que nous poursuivons rapidement jusqu’au passage crocodile, boueux à
souhait. Il en faut de peu que l’eau ne passe au dessus des bottes, quelques uns ont d’ailleurs bien
pris l’eau ici. Ondine nous dit « mais c’est
dégueulasse, je me souvenais pas que c’était
dégueulasse comme ça ! ». Nous sommes tous
intrigués devant l’amnésie flagrante qu’a déclaré
Ondine de ses précédentes traversées d’ailleurs !
Finalement ce n’est qu’une fois la grande galerie
de l’armée rouge passée que nous entendrons pour
la première fois de la sortie « ah mais oui là je me
souviens », en parlant du passage bas
gravillonneux avant l’énorme salle phrygane !

< « Ondine à la sortie des crocodiles »



 

Mouch’tiques :
L’escalier de service est évident (catadioptre) et la remontée par les mouch’tiques se fait à bon
rythme, entre passages au dessus de puits bornes dans un premier temps, puis grimpettes dans les
puits dans un second. Il est environ 18h lorsque nous sommes tous dehors après cette magnifique
traversée.


Epilogue
Sur la route du retour, nous faisons un crochet par chez Ondine pour partager une petite bière après
cette belle journée conviviale. Nous rentrerons vers les Jarrands vers 20h.

jeudi 8 février 2024

Compte-rendu Traversée Coufin-Chevaline Date : 04/02/2024


Participants : Thibault D. Hélène, Thomas C, David, Etienne, Tim L
TPST : 8h


Nous recevons l’invitation de Thibault de faire une certaine traversé dans les grottes de
Choranche...sans hésitation, on accepte et on bloque la journée.


Départ de Méaudre pour covoiturer, tous enthousiaste ! L’euphorie retombe un peu lorsqu’on
réalise que la route des grottes est fermée... “Passage interdit et dangereux, grottes fermées”. Et
zut, on avait pourtant bien RDV ! Malgré le faible réseau téléphonique, on parvient à joindre le
responsable... on nous a oubliés ! Il nous propose d’aller récupérer les clefs des grottes à Pont en
Royans. On réalise qu’on va avoir Choranche pour nous seuls, incroyables !
Direction le village aux maisons suspendues et retour aux grottes, on traverse les deux passages
fermés et tant qu’à braver les interdits, nous nous garerons au plus proche de l'entrée, sur les places
handicapées !


On s’habille, on prépare les kits et c’est parti, on rentre dans la partie touristique, il est 10h30.
On se mouille directement pour passer le pseudo siphon, histoire de se mettre en condition. Perso,
je n’ai pas l’habitude des néop’... mais c’est magique ! Dans la rivière Coufin jusqu'à la coté +45, le
parcours est évident et splendide. On rejoint la partie fossile de Gruyère 1. On ne se perd pas...mais
on check la topo régulièrement quand même ! On se réchauffe dans la partie fossile et on est bien
content de se re mouiller un peu avant de rejoindre le Gruyère 2. Pour infos, le gruyère n’a pas de
trous et ces galeries devraient plutôt s’appeler Emmental (merci David pour la culture G). De
nouveau, on ne peut pas dire qu’on se perd dans Gruyère 2, mais on,a toujours la topo bien sous les
yeux eheh. Pause pipi et pause madeleine et on rejoint l’actif qu’on traverse pour rejoindre le réseau
de la Jonction où s’installe pour manger. Et c’est reparti, on s’émerveille tous des concrétions et
autres spéléothèmes que jonchent le réseau, splendide !


On rejoint Chevaline et les choses sérieuses commencent. Au lieu de suivre les mains courantes
hors-cru, Thibault nous propose un passage “qui ne mouille pas”. En réalité, ça sous-entendait “qui
ne mouille que jusqu’aux épaules”. Une série de cascades et de gours profonds nous attendent et
Thomas annonce la couleur en plongeant à la première occasion dans ces eaux limpides. Ça saute, ça
plonge, on est tous comme des poissons dans l’eau. Des grands enfants... Petite pause pipi dans un
gour, celui-là, on prendra le soin de ne pas nager dedans... sauf Hélène surprise de nous voir tous
emprunter la main courante hors crue ! Belle partie de plaisir dans ces piscines naturelles et on
rejoins enfin le réseau fossile de Chevaline. Fossile certes, mais on doit tout de même traverser “la
rivière suspendu” à la côte +93. À mes yeux, c’était un siphon infranchissable, mais visiblement,
Thomas sûr de lui traverse le passage, la tête tout juste au-dessus de l’eau qui bute contre le bas
plafond. Oh, c’est plutôt impressionnant comme obstacle, mais finalement assez rigolo à franchir !
On parcourt le reste de la galerie fossile, jusqu’à passer la trappe qui mène à la salle de la Cathédrale
“sons et lumière”. Il n’y a personne, pas de touriste... on ne résistera pas au malin plaisir de faire un

dernier plouf dans ce grand siphon ! On rejoint la sortie, le soleil vient de se coucher, l’ambiance
dans le cirque est superbe.
On se rhabille et on roule jusqu’au Comptoir du méaudret histoire de trinquer un coup à cette belle
journée, faut dire qu’on s’est senti un peu chanceux d’avoir pu voir de belles choses et de vivre cette
aventure !


Tim L 








samedi 3 février 2024

CR du Scialet Neuf 21/01/2024


présents: Marion, Tim, Étienne, Tim, Thomas et Vincent
TPST: 8h environ
entrée sous terre 9h30


Marion lança une invitation club pour une sortie vercors Sud plutôt verticale au scialet neuf,
entre la Chapelle et Vassieux par un bien beau dimanche de janvier. Je m'y greffe en
dernière minute. 

Le froid était bien présent sur Méaudre mais aussi dans la cavité, associé à
une humidité qui rendait l'ambiance bien frisquette. C’est Marion qui commençait à la
descente en équipant un ou deux kits, je ne sais pas, j'étais derrière. Ensuite Tim qui était
encore derrière moi et le seul à avoir déjà fait la cavité passait devant tout le monde en
prétextant qu'il fallait qu'il voit pour être sûr du bon chemin. Alors qu'en fait de chemin il y en
avait qu'un : vers le bas. En effet cette cavité n’est rien d'autre qu'un enchaînement de puits,
surtout des 10 m mais aussi quelques envolées plus longues, comme un beau trente mètres
avec frac suspendu à la voute les pieds dans le vide vers le début et un grand puit plus ou
moins continu pas loin du fond. 

Du coup je me retrouvais bon dernier, Etienne devant moi, à
patiemment attendre que nos équipeurs les plus aguerris trouvent l’équipement le plus
adéquat dans cet enchainement de puits assez techniques à équiper. Arrivés à ce fameux
grand puit, Tim et Thomas attaquent rive gauche. Ils ne trouvent pas de quoi fractionner ou
dévier rapidement pour éviter le frottement, continuent pour chercher un frac plus bas qu'ils
ne trouvent jamais. Le frottement associé à l'humidité toujours croissante et au manque
d'amarrage nous fait renoncer à ce moment-là. Restés sur une petite vire juste avant cette
belle verticale nous profitons de ce magnifique endroit spacieusement étroit et agréablement
rafraîchi par des embruns, nous sortons les pique-nique et profitons du moment. Hélas il est
temps de remonter. Étienne veux bien déséquiper mais uniquement si c'est sec du coup
c'est nos équipeurs favoris qui deséquipent le fond. Tim prendra le relais sur la fin une fois
récupérée sa polaire laissée plus haut sur un porte-manteau sec et c'est dans la bonne
humeur que l’on ressort tranquillement, presque plus propre que lorsqu’on est rentré,
quoique un petit peu plus humide quand même. 

On ne se fait pas prier pour rejoindre les
voitures et prendre congé des gens du Royans. Retour vers 19h à Méaudre pour une petite
bière au comptoir avec les restants et un bon démêlage des kits.
En bref, une sortie mi figue mi raisin: à faire pour s’aguerrir à l’équipement ou déjà équipée
et par temps sec pour taper le fond, ambiance crossfit. Très bonne ambiance entre nous, en
revanche! C’est aussi pour ça qu'on revient!

 


 

Journée vannerie samedi 26 janvier 2024


Fin janvier, les osiers ont vraiment une allure de têtards.




Il y a si peu de neige, néanmoins la 46 ème foulée blanche aura lieu demain. Les fondeurs seront au rendez-vous et les vanniers  le sont aussi  ce jour puisque nous sommes 24 réunis pour cette nouvelle journée vannerie.

Martine, formatrice en vannerie  chez les vanniers du Trièves est venue nous rendre visite et prêter main forte à Guy, l’occasion d’avoir des conseils toujours les bienvenus et de goûter son fameux vin de noix.




Ce jour les mangeoires pour les oiseaux sont à l’honneur. Caroline en confectionne une nouvelle, séduisante  et plus facile semble-t-il, alors une réalisation à refaire prochainement.




Et il y a aussi de beaux paniers en devenir, paniers ronds, ovales, coniques, sur arceaux, sur branche.






Encore une belle journée où nous nous sommes appliqués à « faire le partage » c’est-à-dire écarter les bâtons en étoile pour pouvoir tresser, mais aussi faire goûter les différentes préparations culinaires apportées par chacun😉.

 


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