Pour bien démarrer en spéléo

Les tutos de Xavier part 1 LES RECOMMANDATIONS GENERALES

RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES Une sortie se prépare à l’avance pour adapter au mieux la cavité au groupe (ou le groupe à la cavité) et ainsi lim...

mardi 25 mars 2025

SCIALET ORBITO 23 février 2025


TPST : 13H45
Jean-Florent Raymond (SGCAF)
Alexis Delanoë (SGCAF)
Gaël Alguero (SGCAF)
Nicolas Delaty (ADC)
Rédacteurs : Gaël, Jean-florent et Nicolas

 
Rendez-vous devant chez Jean-Florent à 7h15, Alexis est un peu en retard. On retrouve
Nicolas au parking vers 8h15. On discute de la météo changeante, il a plu cette nuit et il va
pleuvoir un peu dans l’après-midi. D’après Jean-Florent, on devra peut-être faire demi-tour
avant le fond si ça coule trop. On fait l’approche et on se prépare, on rentre un peu avant 10h.
Nicolas, qui connaît bien, me confie qu’il y a beaucoup d’eau. Les méandres passent bien je
trouve, ce sera probablement différent au retour. On verra bien. Nicolas s’arrête quelques fois
pour prospecter par-ci par-là. Arrivés à la salle du fil tendu, une trémie. C’est apparemment le
point critique où l’eau pourrait nous empêcher de passer. Jean-Florent va voir : « ça passe ».
C’est un boyau descendant d’environ 30m, et ça coule bien. On ne traîne pas mais on finit
bien trempé tout de même, surtout quand l’eau coule dans les manches. Ensuite on traverse
des galeries basses et on atterrit dans une salle avec un canot pneumatique crevé sous des
pierres. Alexis et moi décidons de manger un bout. Jean-Forent nous rejoint après avoir
récupéré dans la salle de la jonction la corde laissée lors de l’escalade la dernière fois. Nicolas
va désobstruer dans la salle sous l’entonnoir du canot tandis que nous rejoignons la salle qui
fait suite au lac.
On monte une corde dynamique amarrée à une grosse stalagmite pour atteindre un palier où
l’escalade était prévue dans une jolie cheminée avec un petit actif. Il y aurait aussi deux
galeries à aller voir. D’abord, j’assiste à la préparation et à la grimpe elle-même, c’est assez
impressionnant de voir quelqu’un grimper dans ce contexte. Alexis assure Jean-Florent et je
lui lance des bouts de dyneema qu’il utilise pour les premiers points puis il pose des pulse.
J’admire un peu puis je décide d’aller explorer la première des galeries qui part vers le haut.
Je découvre un long conduit où je rampe pendant 50/100m ? Jean-Florent avait écrit dans le
sable pour se souvenir jusqu’où il était allé mais j’oublie d’y faire attention. Au bout, ça
devient très étroit, peut-être que ça passe mais je n’irai pas tout seul.
Je reviens dans la salle où l’escalade bat son plein. Jean-Florent dit qu’il n’y a rien en haut et
nous demande si on veut venir voir. Le ruisseau vient d’un petit méandre dont la partie la plus
large, en bas, forme un triangle équilatéral de 10cm de côté. Aucun courant d’air n’est
perceptible même à l’encens. Alexis monte pour déséquiper. Au 2/3 de la montée il délaisse la
corde pour s’enfiler dans un laminoir tapissé d’argile. Pendant ce temps, je préfère aller
explorer la deuxième galerie vers le bas et je tombe vite sur une chatière bien étroite mais qui
n’a pas l’air très longue. Je m’y engage pieds devant, tourné sur le flan pour m’adapter à la
forme de la roche. Mes pieds se retrouvent dans le vide, j’ai un peu peur mais en fait je touche
vite le sol 1 ou 2m en-dessous. Je vois vite que l’eau descend dans des blocs, je pourrais
presque passer. Je me rends compte qu’il suffit de déplacer deux blocs pour ouvrir un passage
raisonnable. Je suis tout excité. Je descends une dalle inclinée sur les fesses et je trouve très
vite une petite salle bouchée par la bout et une flaque qui ressemble à un tout petit siphon.
J’inscris mon prénom dans la boue avec la date du jour.
Quand je remonte où sont Alexis et Jean-Florent, j’entends des cailloux tomber alors je reste
caché dans ma galerie. Un bloc tombe en grand fracas. J’appelle pour savoir ce qui se passe,
Alexis me dit que je peux sortir. Il est accroché au milieu de la paroi escaladé par Jean-Florent
et me demande de lui passer la corde pour descendre. Il raconte qu’il a trouvé une étroiture
en haut, et son exploration l’a ramené dans la même salle mais quelques mètres en contrebas.
De ce côté-là pas grand-chose à espérer : des petites galeries tapissées de boue et sans
courant d’air notable.
Avant de rentrer, on se balade pour aller voir les siphons dans les grandes galeries du fond.
Puis on revient sur nos pas et on retrouve Nicolas qui commençait à avoir froid.
Voici le récit des ses explorations :
« Arrivés à la Salle de la Jonction, je farfouille en tous sens, sachant depuis peu qu'il y a un
potentiel de 120 mètres exondé dessous ! Au bas de la salle, deux actifs, celui sortant d'un
siphon dans le haut de la salle, et un autre provenant du sommet de l'escalade, se perdent
dans un boyau siphonnant. Le passage ne doit tout de même ne pas être gros car il est déjà
arrivé que la salle s'ennoie entièrement jusqu'au sommet du puits /ressaut qui mène à la suite
vers le sud. Il sera bon de venir en période d'étiage pour voir ce qu'il en est. Je continue ma
farfouille dans la seconde petite salle avant le ressaut remontant. Je trouve là 2 petits siphons
profonds où un petit actif, inexistant la fois précédente, provenant du sommet du ressaut, se
perd. Le bout de la salle qui est creusé dans le remplissage d'argile et de blocs est
complètement colmaté.
Je profite du moment pour m'enregistrer une image de la zone en 3D dans le crane dans le but d'en
tirer un dessin topographique réaliste !
Arrivés à la Salle du Canot, j'abandonne le reste de l'équipe pour aller poursuivre la désob
entreprise il y a 3 semaines. Elle est située tout prés après avoir passé le soupirail au bas de la salle.
On est à l'étage inférieur de la grosse galerie. La galerie qui fait 2 X 3 est bouchée vers le Nord
après quelques mètres par une trémie dégueulante sur son coté gauche. La fois précédente j'avais
avancé de 2 mètres dans un conglomérat de petits blocs enrobés d'argile et de mondmilch. Je
poursuis sur 1 mètre de plus à l'horizontal, avec maintenant de petits blocs plus libres, pendant 2
bonnes heures. Le petit courant d’air y rentrant est toujours là.
Après cela, je compte rejoindre les autres qui font une escalade dans la galerie principale, non loin
de là, mais c'était sans compter sur le lac à traverser. Celui ci est profond et pour éviter de se
baigner, il faut le traverser grâce à une câblette tendue doublée d'une main courante. Le problème
c'est qu'elle est positionnée à 2m de haut et qu'il est impossible de se longer au plus court dessus. Je
tente donc en me longeant avec ma longe courte mais abandonne dès que mes fesses touchent l'eau.
Bon, après un moment d'attente, espérant qu'ils reviennent, je repart en arrière pour me réchauffer.
Après la Salle du Canot, je vais voir le premier départ sur la gauche. Il butte tout de suite sur
un tas de cailloux déboulant du haut. A sa base, une fissure verticale impénétrable descends
de quelques mètres. Un petit courant d'air y rentre. Il ne m'en faut pas plus pour que je
commence à dégager le sommet de la fissure. La suite est étroite et il faudrait agrandir
mécaniquement. On est dans le prolongement de ma première désob et il existe surement une
galerie parallèle à la galerie principale à l'étage inférieur. Après 1 heure d'activité,
j'abandonne et retourne dans la galerie principale attendre le reste de l'équipe.
Heureusement, ils arrivent assez vite avant que je ne soit complètement frigorifié. »
Le retour se passe bien jusqu’à une « petite » mésaventure. Dans le méandre des plumes, je
suis Nicolas qui connaît bien. Vers la fin du méandre vient un moment où je ne suis pas sûr.
Nicolas me dit qu’il est passé à mi-hauteur mais que ça passe peut-être en bas. J’essaye quand
même de rester en hauteur mais mon kit, lui préfère aller en bas et j’ai du mal à le gérer. Bon,
je vais peut-être passer en bas. Sauf que ça ne passe pas.
Je me rends rapidement compte que je suis bien coincé au niveau du bassin. Nicolas est
devant, Jean-Florent et Alexis derrière. Mais il y a trop peu d’espace au dessus pour qu’ils
puissent se mettre à ma verticale ou poser un point pour me tracter avec une corde.
S’ensuivent 45 minutes, peut-être 1h, de bataille épuisante pour me décoincer. Jean-Florent
positionne mon kit pour que je m’en serve d’appui. Alexis passe en-dessous et empile des
pierres pour que je pousse dessus. Je crois que ça me permet de bouger d’un petit centimètre
et d’amorcer le déblocage, ce qui était probablement le plus difficile. Jean-Florent me
conseille de coincer mon avant-bras entre les deux parois pour pousser. J’essaye de garder
mon sang-froid et de réfléchir. C’est le bloqueur ventral qui doit coincer mais pourtant j’arrive
à passer mes doigts entre celui-ci et la paroi. Ça doit être les fesses. Pendant ce temps là mes
camarades se refroidissent sérieusement car ce méandre est bien ventilé est que nous
sommes bien humides. Finalement, j’essaye de pousser avec les bras, mais cette fois en
pendulant, successivement du bras gauche sur mon kit et du bras droit coincé en opposition.
Je ne m’en rends pas vraiment compte mais je m’élève centimètre par centimètre, les progrès
sont lents et incertains. Je suis exténué et je finis par réaliser que je ne suis plus coincé, je
peux repartir ! Cette épreuve m’a épuisé est le retour à la surface se fait à tout petit rythme,
merci Jean-Florent pour les barres de céréales. Il est presque minuit et j’ai du mal à réaliser
qu’on est enfin dehors !
Merci tous les trois pour cette sortie, merci Alexis pour la pile de cailloux et Jean-Florent pour
les conseils pour mieux pousser sur les bras : le kit coincé et l’avant bras en opposition entre
main et coude sur les deux parois (mon coude en a souffert pendant plus d’une semaine mais
au moins je n’étais plus coincé). Encore désolé pour le retard engendré sur le planning…

 


 

Suite à donner :
-trouver la suite dans la grande galerie (venir un jour où le courant d’air est franc)
 -creuser les trémies repérées par Nicolas
 -améliorer le passage du lac qui est très pénible en l’état (mettre le câble au ras de
l’eau et une MC en haut ?)
 -revoir la galerie en haut de la salle du fil tendu
 -élargir encore le méandre ?

jeudi 20 mars 2025

Compte-rendu Grotte des Merveilleuses


Date : 19/02/25
Participants : Valentin (ADC), Tim L (ADC), Eve (hors club)
TPST : 2h30
Objectif : classique et nettoyage de la grotte

 




 

RDV en fin de matinée au local pour préparer le matos et direction le Pont de la Goule
verte pour démarrer la marche d’approche. Terrible marche d’approche par
ailleurs...c’est comme faire de l’escalade (du 4C, mais tout de même...) dans des
feuilles, des petits cailloux et des racines qui ne tiennent pas. On cherche un bon
moment quand même, il y a pas mal de trou par-ci par-là le long du rocher de
Chalimont, mais aucun ne correspond à la photo de l’entrée... On arrive finalement
bien haut et bien échauffé à la bonne entrée. Hop, le temps d’un miam miam, on rentre
et on contemple la belle cavité. Des passages bas permettent d’accéder d’une salle à
l’autre. On arrive au P33. Prévoir une C50 pour la main courante et le puit (une dév
rapidement, un frac au milieu du puit, et ensuite une seconde dév ou un frac au dernier
tiers du puit. Prévoir sangle et dynema car tous les points ne sont plus en état..!)
On visite le fond, toujours aussi beau. Il y a une petite lucarne qui donne sur un
puit...On s’y faufilerai bien mais il ne semble pas y avoir de point...à aller explorer ? On
remonte en ramassant les déchets...on remonte 2 kilos de trésors archéologiques :
tessons de verre, plastique, pile, tissus, métal, pot de yaourt, alu, déchet non
identifié... Objectif atteints ! Et pour le coup, la glissade dans les feuilles jusqu’au
parking et bien plus rigolote dans ce sens !

Tim

Journée vannerie du 15 mars 2025

 

Samedi 15 mars 2025, journée froide et neigeuse, mais une journée vannerie bien remplieUne quinzaine de vannières et vanniers se sont retrouvés à la salle polyvalente d’Autrans.





Pendant que Pascal s’affaire sur un magnifique panier sur arceaux, 
Étienne commence un nouveau panier sur branche qui a ce jour reste sa spécialité 





Mais il y a aussi Charline, toujours prête à innover





Paniers, mangeoires voient le jour sous les doigts de plus en plus habiles










Pause à la mi-journée avec bien sûr, le repas partagé , 
et le maintenant célèbre et attendu gâteau au chocolat - petits beurres de Pascal





Infos de dernière minute :
Lundi 24 mars à 13h30, nous nous retrouverons à l’espace loisirs de Méaudre (derrière la piscine) 
pour une plantation d’osiers. Une chouette idée, mais il faudra être patient avant de les récolter.


lundi 17 mars 2025

CR Grotte des Gaulois du 13 mars 2025

 

Compte-rendu de sortie : Grotte des Gaulois, 15 mars 2025

Participants : Xavier, Valentin, Vincent, Kaïs (ASV), Thomas L

TPST : 1h00

Sortie club, classique

Rédacteur : Thomas L



L’après-midi commence mal, on est sous la neige, l’approche dure plus de 15 minutes, bref ce n’est pas très Drabons, je dis à Xavier que s’il y a plus de marche que de reptation sous terre, le CR attendra la création de la section montagne.

On arrive tout de même rapidement à l’entrée, une petite escalade protégée mène à la cavité, des marches sont taillées, la main courante est en place donc tout va bien.

 

Valentin dans l’escalade d’accès



Une deuxième toute petite escalade à l’intérieur nous mène à un joyeux boyau boueux (essayez de dire ça très vite dix fois d’affilée). Bon, c’est pas moche, c’est pas ouf, à noté une petite dizaine de chauve-souris hibernent encore tranquillement dans la cavité.

On arrive dans la fameuse etroiture, on se demande si elle a été élargie, apparemment non. On commence par un court laminoir, puis un petit virage assez vicieux vers la droite. Xavier y restera bien 5 min, soit une minute de progression tous les dix centimètres. On a fini par conclure qu’il fallait se mettre sur le dos pour mieux épouser la forme du rocher.

 

Xavier, à la sortie de l’étroiture

 

On continue un peu et on arrive au porche final, au milieu de la falaise, le brouillard nous bouche la vue sur la Bourne mais au-dessus de nous le rocher et vraiment impressionnant. Xavier pose le rappel et 10 minutes après nous voilà tous en bas.

 

Xavier sur le rappel final


Le retour en marchant se passe aussi bien que l’aller. Décision est prise de s’arrêter là pour la journée pour ne pas être à la bourre pour la réunion du soir !

 

mercredi 12 mars 2025

GAMPALOUP : BOUCLE PAR LE LAC DU TAMPONNOIR

le 07/03/2025

Participants : Clément (SGCAF), Nicolas (ADC), JB (ADC)

TPST : 5h30

 

Départ :
Nicolas ayant proposé une sortie spéléo cette semaine en partie pour faire de la photo, nous nous sommes
retrouvés sur le parking en bord de route en dessous de la carrière dans la montée vers le col de la croix
Perrin vers 8h30. Nous mettons l’équipement en commun et démarrons la marche d’approche par la piste
forestière démarrant de l’autre côté de la route juste sous la retenue des éboulis de la carrière. L’accès se
fait rapidement en suivant la piste puis en remontant dans le vallon de Granpaloup de manière nettement
plus raide par une sente peu marquée mais depuis laquelle nous finissons par apercevoir 2 cairns à
l’approche des petites barres rocheuses présageant l’entrée de la cavité.
De l’entrée jusqu’à la salle des éclopés :
Nous rentrons vers 10h. L’entrée nécessite un court ramping de quelques mètres puis nous arrivons dans
un beau méandre où, après un ressaut de 2m que l’on désescalade, nous atteignons les premières broches.
Le premier puits est en deux parties, un P6 suivi d’un P30 que Nicolas équipe. Une fois en bas, des MC
sont en fixe pour éviter de finir au fond du surcreusement de la galerie. On arrive alors rapidement à un
P15, que Clément équipe, avec une belle stalagmite en son centre. A sa base, une courte progression nous
fait arriver dans la salle des éclopés.







« Nicolas à l’équipement du P30 » 

 


« Clément dans la descente du P30 »

La boucle :
Le départ de la boucle se fait en remontant au dessus à gauche de la corde arrivant du lac du tamponnoir.
Une faille dans la paroi donne accès à une belle galerie ébouleuse et l’on arrive aussitôt sur des cordes
remontantes puis descendantes puis remontantes de nouveau jusqu’à un beau P25 descendant, arrosé à sa

base, où sont présents 2 relais chainés (l’un et en dessous de l’autre). Si l’on continue en face de ce puits
on part alors dans les amonts. Nous nous descendons. A la base de ce puits d’environ 25m, on parcours un
petit bout de méandre pour arriver en haut d’un second puits (photo). En bas, on continue sur plusieurs
autres petites verticales et l’on retrouve un ou deux actifs dans lesquels on se mouille les pieds. On arrive
enfin sur une corde remontante qui nous emmène en haut du rappel guidé (corde guide en fixe) au dessus
du lac du tamponnoir. Vu la longueur de corde utilisée le rappel fait environ 25m, une C60 fait facilement
l’allez-retour. On enchaîne aussitôt avec la remontée sur les cordes en fixe car c’est humide en bas.
Plusieurs petits puits se succèdent (2 ou 3 max) puis un puits d’environ 20 ou 25m de plus belles
dimensions. En haut de celui-ci nous sortons dans la salle des éclopés.



« Dans l’un des affluents de la boucle vers la lac du tamponnoir » Photographe : Nicolas Baudier


« La lumière divine dans le guidé du lac du tamponnoir ! » Photographe : Nicolas Baudier

Retour :
L’heure du déjeuner se fait dans les éclopés et nous refaisons le monde devant tout le temps que nous
avons pour ressortir (il est 14h15 et la sonnette est à 20h). La remontée s’effectue sans problèmes, Nicolas
déséquipe et nous sortons dehors pour profitez de ce soleil printanier vers 15h30. Nous finirons autour
d’un apéritif chez Clément au soleil devant le panorama des crêtes du Vercors Nord.

samedi 8 mars 2025

CR GROTTE ROCHE DU 16/02/2025


 Cavité / Zone : Gorge de la Bourne

Massif : Vercors

Participant(e)s :

Olivier P. et ses 2 enfants

Gabin

Thomas et son fils

Adeline et une amie

Baudier Iseult et Nicolas


TPST :  4h

Type de sortie : Classique,

Rédaction :Baudier Nicolas

Description

Voilà un certain temps qu'un ami vivant sur le Vercors depuis plusieures années, montrait une curiosité certaine à propos de notre activité.

Ses enfants partageants le même entousiasme, c'est ainsi qu'une petite sortie initiation s'organisa pour le dimanche 16 février.

Partageant l'opportunité d'une petite sortie tranquille, seront également présents Gabin, Thomas et son fils.

Le rdv sera donné pour 13h sur place ; mes découvreurs étant déjà rompus au monde de

la verticalité, un tour au fond ne semble pas une hérésie, et c'est alors parti pour une

exploration en règle..... menée tambours battants par les enfants, fort peu impressionés par ce nouvel univers.

La progression se fait bien, et l'entrain des plus jeunes servira d'étouffoir à la crainte des plus âgés, plus habitué à des univers moins "contraints".

L'aval est tjr aussi surprenant par ses dimensions, et le siphon terminal tjr aussi décevant par sa taille !

Finalement, le retour sera  plus facile qu'attendu, car la présence de fers à béton permettront la remontée du seul et unique puit en escalade (assurée par le "basic" quand même)

Ayant des contraintes horaires, Adeline et son amie rentrerons plus tôt, tandis que le reste de l'équipe empruntera le labyrinthe. Malgré sa visite faite de maintes et maintes fois, nous cherchons quand même un peu notre chemin (ce qui ne fera que renforcer le bon moment passé par les enfants ! )

 

Retour à l'air libre pour tout le monde : sourire aux lèvres, prouvant encore une fois le caractère fédérateur d'une activité non de plein air... mais pleine de terre !


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